3.10.15

Citron 8ème partie

Je suis entré facilement chez Maruzen, librairie où j'évitais habituellement d'entrer .
Mais qu'est-ce qui se passe ?
Le bonheur qui avait rempli mon cœur s'enfuyait petit à petit.
Mon cœur n'est pas arrivé jusqu'au parfum et à la longue pipe japonaise que j'aimais bien.
La mélancolie s'approchait de moi.
J'ai pensé que j'étais un peu fatigué parce que j'avais beaucoup marché.
J'ai essayé d'aller devant l'étagère des albums de reproductions.
Il me faut utiliser beaucoup de force même si je ne prends qu'un seul lourd album de reproductions.
J'en ai tiré un et je l'ai ouvert et le regardé.
Mais le sentiment de bonheur qui fuse n'ai jamais vu. Et j'ai encore obstinément pris un autre album de reproductions.
Ça a été la même chose. Mais je ne pouvais pas m'arrêter de les prendre de voir.
Et je l'ai laissé car je n'y tenait plus.
Je ne pouvais plus le ranger.
J'ai répété cette action plusieurs fois.

Finalement, j'ai pris un livre orange de Jean-Auguste-Dominique Ingres que j'adore.
Mais je l'ai laissé car c'était dur. Quel horreur !
La fatigue est restée dans les muscles de mes mains. Je commençais à devenir d'une humeur mélancolique et j'ai regardé un tas de livres que j'avais laissé tout à l'heure.


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